Secure Computing convoite le segment des PME

Quatre offre packagées ont fait leur apparition au catalogue de Secure Computing depuis le début de l'année. Le réseau de revendeurs qu'il a créé pour en assurer la distribution représente déjà 20% de son chiffre d'affaires en France.

Le fournisseur de solutions de sécurité pour les grands comptes et les opérateurs capitalise sur ses acquisitions. Fort des rachats de Cyphertrust (sécurisation de la messagerie) et de Cyberguard, lui même propriétaire de Webwasher (sécurisation des contenus web) et de Snapgear (UTM), il est désormais en mesure de cibler les PME. «Tout ce que nous proposons aux grands comptes trouve son équivalent pour les entreprises de 1 à 500 postes. La différence réside dans l'approche commerciale et technique», explique Rafik Hajem, le directeur général de Secure Computing pour la France et l'Afrique du Nord. Depuis le mois de janvier dernier, l'offre du fournisseur s'est ainsi enrichie de quatre packages. Dédié à l'authentification forte, le bundle Safeword renferme une licence et un service de maintenance ainsi que des token USB. Dans le domaine des UTM, Secure Computing propose deux boîtiers, l'un basé sur un pare-feu stateful inspection (issu de snapgear), l'autre sur un pare-feu applicatif. Baptisé ww250, le troisième package permet quant à lui de sécuriser le trafic web à l'aide de fonctions d'antispam, d'antimalware ou encore de filtrage d'URL. Il trouve son équivalent pour la messagerie électronique avec le « bundle S100 », un boîtier qui embarque un antispam et un antivirus couplés avec un service de support et de maintenance. Pour assurer la diffusion de son offre pour PME, Secure Computing ne pouvait se contenter de s'appuyer sur son réseau de 20 à 25 intégrateurs partenaires. Le fournisseur a donc dû confier à ses grossistes existants Miel et Albakan le recrutement de revendeurs plus axés sur le négoce de matériels. A force de tours de France conjoints et d'opérations de co-marketing spécifiques régulières, ces revendeurs PME représentent déjà 20% du chiffre d'affaires de Secure Computing en France. Reste qu'il ne sont que 7 à 8 à pouvoir être considérés comme actifs. D'ici à la fin du premier trimestre 2008, le fournisseur espère avoir fait passer leur nombre total à une vingtaine.

s'abonner
aux newsletters

suivez-nous

Publicité

Derniers Dossiers

Publicité