Viendra-t-il (ou elle) de l'interne ou bien de l'extérieur ? Et dans ce cas sera-t-il (ou elle) vraiment un « étranger » au monde Microsoft ou bien « un ex » parti et susceptible de revenir comme n°1 ? Notre confrère CRN US s'est livré au jeu palpitant de l'examen des CV.
Les 5 « papabiles » internes
Ils seraient 5 cadres dirigeants à pouvoir coiffer la couronne. Kevin Turner est COO depuis 2005, il venait de Walmart dont il était le DSI. Il possède donc une culture interne et externe. C'est surtout un homme de l'opérationnel, ce qui limite peut être son potentiel pour le poste.
Tami Reller, l'une des trois femmes en piste, est chez l'éditeur depuis 12 ans, elle venait de Great Plains racheté alors par Microsoft. Elle vient d'être promue vice-présidente exécutive chargée du marketing. Et c'est elle qui prononçait une keynotes lors de la dernière conférence partenaires le mois dernier. Auparavant, elle coiffait à la fois les finances et le juridique au sein de la division Windows.
Tony Bates, c'était le patron de Skype, racheté par Microsoft en 2011. Il est donc devenu patron de la division Skype de Microsoft mais a été promu vice-président exécutif chargé du business development et de l'évangélisation. Avant Skype, il a été vice-président senior et dg de Cisco, un homme très expérimenté donc au plus haut niveau.
Satya Nadella est le plus ancien dans cette liste, avec 22 ans au compteur depuis son entrée chez l'éditeur. Depuis un mois, il est vice-président exécutif chargé du cloud dans le monde de l'entreprise. Il supervise les plate formes et services cloud et les outils de développement. Il a entre les mains un secteur clé pour l'avenir de l'éditeur.
Julie Larson-Green, autre vétéran (depuis 20 ans chez Microsoft), autre femme et nouvelle promue. Julie Larson-Green est depuis un mois vice-présidente exécutif chargée des devices (donc de Surface), des offres de divertissement et des jeux. Elle a notamment été vice-présidente de la division Windows.
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