En déplacement à Metz aujourd’hui, le Premier ministre, Edouard Philippe, a annoncé le lancement d’un nouveau fonds « French Tech seed » pour la French Tech. Doté de 400 millions d’euros dans le cadre du troisième volet du Programme d’investissements d’avenir, ce véhicule servira à soutenir les levées des start-ups technologiques issues des laboratoires, des incubateurs ou des sociétés d’accélération du transfert de technologies (SATT). Géré par Bpifrance, il reposera sur des apporteurs d’affaires labellisés, chargés d’accompagner ces jeunes pousses et de leur trouver des investisseurs privés. Ces apporteurs d’affaires permettront un investissement public quasi-automatique, sous forme d’obligations convertibles, en complément des capitaux apportés par les investisseurs privés. French Tech Seed pourra également intervenir directement en fonds propres pour des levées plus importantes. Cette annonce s'inscrit après les déclarations du secrétaire d'Etat au Numérique, Mounir Mahjoubi, le 25 mai, à l’occasion du salon Vivatech, par le Secrétaire d’Etat au Numérique, que le virage de la French Tech vers la deep tech. Il concrétise également l’un des 100 engagements pris à l’occasion du plan « Action start-ups 2018 ».
L'Etat a annoncé investir 400 millions d'euros pour les start-ups françaises. Ces financements seront particulièrement utilisés pour soutenir les premiers tours de table des jeunes pousses.
En déplacement à Metz aujourd'hui, le Premier ministre, Edouard Philippe, a annoncé le lancement d'un nouveau fonds « French Tech seed » pour la French Tech. Doté de 400 millions d'euros dans le cadre du troisième volet du Programme d'investissements d'avenir, ce véhicule servira à soutenir les levées des start-ups technologiques issues des laboratoires, des incubateurs ou des sociétés d'accélération du transfert de technologies (SATT).
Géré par Bpifrance, il reposera sur des apporteurs d'affaires labellisés, chargés d'accompagner ces jeunes pousses et de leur trouver des investisseurs privés. Ces apporteurs d'affaires permettront un investissement public quasi-automatique, sous forme d'obligations convertibles, en complément des capitaux apportés par les investisseurs privés. French Tech Seed pourra également intervenir directement en fonds propres pour des levées plus importantes.
Cette annonce s'inscrit après les déclarations du secrétaire d'Etat au Numérique, Mounir Mahjoubi, le 25 mai, à l'occasion du salon Vivatech, par le Secrétaire d'Etat au Numérique, que le virage de la French Tech vers la deep tech. Il concrétise également l'un des 100 engagements pris à l'occasion du plan « Action start-ups 2018 ».
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