La semaine dernière, la mort de la filiale Allemande de BenQ paraissait inévitable. Depuis, un mystérieux consortium a redistribué les cartes. Selon l'hebddomadaire Allemand, Spiegel, un ancien dirigeant de Daimler Benz serait à la tête d'un groupe d'investisseurs germano-américain candidat à la reprise. Mais rien n'est encore joué. D'après Les Echos, le consortium réclamerait 100 millions d'euros de dépots de garanties de la part des Länder de Bavière et de Rhénanie du Nord-Westphalie. Il demanderait d'autre part des compensations financières pour ré-employer 800 des 3000 salariés menacés et, pour finir, souhaiterait continuer l'activité sous la marque BenQ Mobile. Les négociations commencent...
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