En 2008, BenQ avait mis en oeuvre un nouveau plan pour faire passer ses parts du marché français des vidéoprojecteurs de 2,5% à 10% l'année suivante. Cet objectif, déterminé par Michael Cacciatore, le directeur de BenQ France de l'époque, n'a pas été atteint. Aujourd'hui, c'est à Mike Borze, vice président de BenQ Europe, à la tête de la filiale française depuis 5 mois, qu'il appartient de redresser BenQ France, en collaboration avec Ollivier Berrocal, son directeur commercial.
L'approche du nouveau dirigeant va notamment consister à proposer une nouvelle gamme de huit vidéoprojecteurs pour le monde de l'éducation. Un marché que BenQ n'attaquait pas jusqu'ici en France, préférant cibler les segments du home cinéma et des vidéoprojecteurs portables et fixes.
Outre ses vidéoprojecteurs, ce sont aussi ses moniteurs que le fabricant entend commercialiser auprès des acteurs de l'éducation. BenQ relance donc ses écrans qu'il avait arrêté de commercialiser en France depuis plusieurs années. Il propose aujourd'hui, pour tout type de marchés confondus, une ligne de 50 moniteurs, dont 30 dans la gamme LED.
Grâce à cette nouvelle stratégie commerciale, BenQ ambitionne de s'approprier 5% de parts de marché en France sur pour chacune de ses lignes de produits. Sur le marché du vidéoprojecteur, il est actuellement cinquième en France derrière Epson, Optoma, Acer et Nec.
BenQ tente de se relancer à nouveau
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