Retour de la croissance et des bénéfices pour Keyrus au premier semestre

Eric Cohen, Président-Directeur Général de Keyrus : « Notre positionnement d’hyper-spécialiste de la Data, la convergence de nos trois sphères d’expertise et notre culture d’entreprendre et d’innover, nous permettent d’envisager l’avenir sereinement malgré l’environnement économique incertain. » Crédit photo :

Le français Keyrus a dégagé 141 M€ de chiffre d'affaires en première moitié d'année 2021, porté à la fois par la progression de ses branches grands comptes et mid-market.

Après un exercice 2020 marqué par un recul de son chiffre d'affaires (-9%), Keyrus enregistre un rebond de son activité. Au cours du premier semestre 2021, les revenus du groupe de services IT ont atteint 141 M€, soit 6,1% (+4,5% à taux de change et périmètre constants) de plus qu'à la même période l'an dernier. Ils restent, cependant, encore loin de leur niveau des six premiers mois de 2019 (145,6 M€). De son côté, le résultat opérationnel courant a atteint 3,6 M€ (+1,7 M€), et le bénéfice net part du groupe 1,6 M€, alors qu'il était dans le rouge de 2,5 M€ en premier moitié d'année 2020.

Principale contributrice à l'activité globale de Keyrus, sa branche grands comptes affiche un chiffre d'affaires semestriel de 105,6 M€. Un montant dont la hausse de 5,1% provient principalement des opérations du groupe en Amérique du Nord, en Asie, en Afrique et au Moyen-Orient. Celles poursuivies en Europe et en Amérique Latine font encore les frais de l'impact économique de la crise sanitaire. Finalement, le résultat opérationnel courant ressort à 1,2 M€, contre 1 M€ un an plus tôt.

Plus de 9% de croissance sur le segment mid-market

Déjà plus résiliente que la branche grands comptes en 2020, la branche mid-market de Keyrus s'est aussi montrée plus dynamique au premier semestre 2021. Entre janvier et juin derniers, ses facturations ont progressé de 9,2% à 35,4 M€. Menée par la filiale Absys Cyborg, l'activité a dégagé 2,4 M€ de résultat opérationnel courant, soit 900 K€ de plus qu'au premier semestre 2020. La hausse de 5,7% de ses prises de commandes au premier semestre permet d'envisager un second semestre solide en termes de rentabilité.