Microsoft s'apprête à lancer une nouvelle vague de licenciements

Environ 3 000 salariés de Microsoft ont été informés hier de leur licenciement. Depuis juillet dernier et l'annonce par le groupe de Redmond de la suppression de 18 000 postes (14% de son effectif), il s'agit de la troisième et, apparemment, dernière vague de départs. Les deux premières ont respectivement conduit au licenciement de 13 000 personnes cet été, puis de 2 100 personnes en septembre. Cette 3ème vague concernerait plusieurs départements : les ressources humaines, le service financier, les ventes, le marketing et l'informatique. Selon une porte-parole de Microsoft, elle toucherait aussi différents pays.   Interrogée par la rédaction de LMI sur la situation en France, la filiale française n'avait pas encore répondu au moment de la publication de cet article. En septembre dernier, lors de la conférence de rentrée de Microsoft France, à Issy-les-Moulineaux, Yves Grandmontagne, son DRH, avait indiqué que les suppressions de postes auraient un impact limité dans l'Hexagone. Il devait néanmoins y avoir quelques cas qui, selon lui, devait être gérés par de la mobilité interne.  Une dernière vague début 2015 ?  Microsoft a été critiqué pour avoir choisi de licencier en plusieurs vagues. Cette façon de procéder fait peser parmi les employés une incertitude sur le sort qui leur était réservé, ravivant l'inquiétude à chaque annonce. Sans compter les commentaires des concurrents et les couvertures médiatiques qui se sont multipliées autour des licenciements au fil des mois. Il semble que le groupe dirigé par Satya Nadella ait fini par en tenir compte puisqu'il a décidé de réduire la période initialement prévue pour ces réductions d'effectif. Celles-ci devaient courir jusqu'à la fin de son exercice fiscal, en juin 2015.   Une dernière vague pourrait intervenir début 2015, mais elle devrait être assez limitée puisque si l'on additionne le nombre de postes déjà supprimés, on dépasse déjà le nombre initial de 18 000 indiqué en juillet dernier.

Environ 3 000 salariés de Microsoft ont été informés hier de leur licenciement. Depuis juillet dernier et l'annonce par le groupe de Redmond de la suppression de 18 000 postes (14% de son effectif), il s'agit de la troisième et, apparemment, dernière vague de départs. Les deux premières ont respectivement conduit au licenciement de 13 000 personnes cet été, puis de 2 100 personnes en septembre. Cette 3ème vague concernerait plusieurs départements : les ressources humaines, le service financier, les ventes, le marketing et l'informatique. Selon une porte-parole de Microsoft, elle toucherait aussi différents pays. Interrogée par la rédaction de LMI sur la situation en France, la filiale française n'avait pas encore répondu au moment de la publication de cet article. En septembre dernier, lors de la conférence de rentrée de Microsoft France, à Issy-les-Moulineaux, Yves Grandmontagne, son DRH, avait indiqué que les suppressions de postes auraient un impact limité dans l'Hexagone. Il devait néanmoins y avoir quelques cas qui, selon lui, devait être gérés par de la mobilité interne. Une dernière vague début 2015 ? Microsoft a été critiqué pour avoir choisi de licencier en plusieurs vagues. Cette façon de procéder fait peser parmi les employés une incertitude sur le sort qui leur était réservé, ravivant l'inquiétude à chaque annonce. Sans compter les commentaires des concurrents et les couvertures médiatiques qui se sont multipliées autour des licenciements au fil des mois. Il semble que le groupe dirigé par Satya Nadella ait fini par en tenir compte puisqu'il a décidé de réduire la période initialement prévue pour ces réductions d'effectif. Celles-ci devaient courir jusqu'à la fin de son exercice fiscal, en juin 2015. Une dernière vague pourrait intervenir début 2015, mais elle devrait être assez limitée puisque si l'on additionne le nombre de postes déjà supprimés, on dépasse déjà le nombre initial de 18 000 indiqué en juillet dernier.

Ainsi qu'il l'avait annoncé en juillet, Microsoft poursuit ses licenciements. Environ 3000 suppressions de postes viennent de s'ajouter aux 15 100 départs qui ont déjà eu lieu sur les trois derniers mois. 

Environ 3 000 salariés de Microsoft ont été informés hier de leur licenciement. Depuis juillet dernier et l'annonce par le groupe de Redmond de la suppression de 18 000 postes (14% de son effectif), il s'agit de la troisième et, apparemment, dernière vague de départs. Les deux premières ont respectivement conduit au licenciement de 13 000 personnes cet été, puis de 2 100 personnes en septembre. Cette 3ème vague concernerait plusieurs départements : les ressources humaines, le service financier, les ventes, le marketing et l'informatique. Selon une porte-parole de Microsoft, elle toucherait aussi différents pays. 

Interrogée par la rédaction de LMI sur la situation en France, la filiale française n'avait pas encore répondu au moment de la publication de cet article. En septembre dernier, lors de la conférence de rentrée de Microsoft France, à Issy-les-Moulineaux, Yves Grandmontagne, son DRH, avait indiqué que les suppressions de postes auraient un impact limité dans l'Hexagone. Il devait néanmoins y avoir quelques cas qui, selon lui, devait être gérés par de la mobilité interne.

Une dernière vague début 2015 ?

Microsoft a été critiqué pour avoir choisi de licencier en plusieurs vagues. Cette façon de procéder fait peser parmi les employés une incertitude sur le sort qui leur était réservé, ravivant l'inquiétude à chaque annonce. Sans compter les commentaires des concurrents et les couvertures médiatiques qui se sont multipliées autour des licenciements au fil des mois. Il semble que le groupe dirigé par Satya Nadella ait fini par en tenir compte puisqu'il a décidé de réduire la période initialement prévue pour ces réductions d'effectif. Celles-ci devaient courir jusqu'à la fin de son exercice fiscal, en juin 2015. 

Une dernière vague pourrait intervenir début 2015, mais elle devrait être assez limitée puisque si l'on additionne le nombre de postes déjà supprimés, on dépasse déjà le nombre initial de 18 000 indiqué en juillet dernier.

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