Paiement à l'usage ou avec engagement, Qumulo actualise ses tarifications sur AWS

Bill Richter, CEO de Qumulo : "Les entreprises méritent des options d'achat transparentes et flexibles afin qu'ils puissent se concentrer sur les données qui alimentent leurs activités." (Crédit Photo : DR)

Avec pour objectif de simplifier la vie de ses clients et de fournir une offre de stockage adapté à tous, Qumulo met à jour ses options de tarification sur AWS. Paiement à l'usage via une simple carte de crédit ou engagement sur un an, à vous de choisir.

Qumulo, fournisseur de solutions de stockage hybride (local ou cloud) taillé pour les grands volumes de données structurées, dévoile ses deux options de tarification disponibles sur AWS : le paiement à l'usage sans engagement et la souscription à l'année avec prépaiement requis. L'objectif est de fournir une offre de stockage adapté à tous les types de workloads, pour toutes les entreprises et rapide à souscrire.

« Nos clients gèrent des workloads à forte intensité de données qui exigent une grande évolutivité, la complexité des budgets et des prix ne devrait pas être un obstacle à l'adoption de solutions dans le cloud. Les entreprises méritent des options d'achat transparentes et flexibles afin qu'ils puissent se concentrer sur les données qui alimentent leurs activités », a expliqué Bill Richter, CEO de Qumulo via un communiqué de presse.

Ainsi, avec la première possibilité le client choisit une capacité de stockage de base en fonction de ses besoins. Il peut, par la suite et si nécessaire, l'augmenter progressivement. Pour cela, il n'a qu'à sortir sa carte de crédit et payer lors de l'utilisation. De cette manière, les entreprises qui doivent gérer des pics d'activité, avec des workloads qui gonflent à un instant T, peuvent ponctuellement renforcer leur capacité de stockage. Concernant la seconde option, le prépaiement sur un an, il suffit aux clients ayant de grosses charges de travail de se rendre sur la marketplace d'AWS et de s'engager sur un an. À partir de là, ils n'ont plus rien à faire.

Edition du 03/08/2022, par Clémence Tingry