Directrice général d'Ingram Micro France, Sophie Deleval mène une stratégie qui vise à associer un maximum de services au négoce de produits IT. La manoeuvre repose en bonne partie sur Anovo et d'autres sociétés rachetées par le grossiste ces deux dernières années.
2016 a été une année difficile où le marché a beaucoup évoluéDistributique : Quel bilan Ingram Micro France tire-t-il de l'année 2016 en termes de résultats ?Sophie Deleval : Je ne suis pas en mesure de communiquer de manière chiffrée sur l'activité de l'entreprise. Les résultats du groupe, eux, sont public et consultables. Ce que je peux dire, en revanche, en ce qui concerne la filiale française, c'est que 2016 a été difficile. Au cours de l'année, le marché a évolué très vite et nous n'étions peut-être pas assez prêts pour saisir certaines opportunités. Par exemple, nous n'avons pas encore assez développé le poids du BtoB par rapport à celui du BtoC. Or, l'équilibre financier passe par un bon mix entre les ventes de produits grand public et professionnels.Distributique : Qu'en est-il spécifiquement de l'activité de la place de marché cloud lancée...
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