Sébastien Soriano veut que l'Arcep « ait une intelligence de son action vis-à-vis de la filière ». (Crédit D.R.)
En janvier 1997 se créait l'Art, le régulateur des télécoms devenu l'Arcep, chargé d'organiser la concurrence en tenant compte de l'Etat, des opérateurs et des consommateurs. Aujourd'hui, il doit retrouver sa légitimité après les coups de boutoir issus de l'arrivée de Free Mobile et la pression d'autres régulateurs comme l'Autorité de la concurrence.
Sébastien Soriano est confirmé comme nouveau président de l'Arcep, par un décret du président de la République signé le mercredi 15 janvier et après son audition la veille par les commissions économiques des deux chambres parlementaires. Lors de ces auditions, il a montré sa maîtrise des sujets, ses priorités et indiqué l'ouverture rapide de nouveaux chantiers. Par précaution il parle de collégialité, mais tout le monde comprend son intention d'imprimer sa marque personnelle, au cours de son mandat de six ans.
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